mardi 29 septembre 2009

Suède










Premier courrier reçu de Suède.

France







Enveloppe reçue en provenance de l'Assemblée Nationale.

Algérie









Premier envoi d'Algérie publié sur ce blog. Merci beaucoup Omar pour cette enveloppe.

lundi 28 septembre 2009

Taiwan - République de Chine






Merci beaucoup George pour votre envoi et l'information sur les timbres consacrés aux pandas géants.





dimanche 27 septembre 2009

Croatie






Timbre de Croatie, merci tomislav

samedi 26 septembre 2009

Croatie






Série reçue de Croatie, merci beaucoup Tomislav.

Croatie


Merci Tomislav.

Finlande


Courrier reçu de Finlande.

vendredi 25 septembre 2009

mardi 22 septembre 2009

Monaco








Timbre d'une valeur de 10 francs, de la Principauté de Monaco en hommage à La princesse Grace.




Grace Kelly, future princesse de Monaco naît à Philadelphie le 12 novembre 1929 au sein d’une famille catholique d’ascendance Irlandaise. Son père a bâti une fortune dans une entreprise de construction après avoir participé au corps expéditionnaire U.S. en France en 1917 et avoir été champion olympique d’aviron à deux reprises au début des années vingt. Sa mère, belle et cultivée, a délibérément choisi de privilégier son foyer après avoir été l’une des débutantes les plus en vues. L’un et l’autre dotés de beaucoup de charisme et d’énergie élèvent leurs quatre enfants avec chaleur et attention mais avec des principes moraux exigeants, un esprit d’entreprise, d’effort et de responsabilité, tout en les tenant à l’abri de l’atmosphère de difficultés sociales de la période de la grande Dépression.
Grace, la deuxième fille apparaît comme la plus douce, sensible et introvertie. Adolescente, sa nature, rêveuse et poétique la rapproche de son oncle Georges Kelly, homme de lettres renommé à qui a été attribué le prestigieux Prix Pulitzer.
Etudiant en Art dramatique à New York à la fin des années quarante, Grace mène l’existence des apprentis comédiens de bonne famille : hôtels foyers pour jeunes filles célibataires, mannequin pour publicités et magazines afin de payer ses études. Elle participe très vite à des représentations théâtrales et à des émissions dramatiques en direct pour la télévision alors en plein essor. Son talent, sa beauté, son charme légèrement distancié par une sévère myopie la font rapidement remarquer par des talents-scouts hollywoodiens et dès « High Noon » (Le Train sifflera trois fois) où elle est la partenaire de Gary Cooper, sa carrière s’accélère de façon fulgurante.
Sous contrat avec la MGM, mais très demandée par les autres studios ce qui ne va pas sans conflits où elle fait preuve d’une détermination rare, elle devient l’actrice la plus médiatique en 1954, obtenant l’Oscar pour « Country girl » (Une Fille de la Province) devant Judy Garland et, honneur inouï, la couverture du magazine Time, après celui de Life, Look et des grands titres de la presse américaine. Pourtant c’est Alfred Hitchcock qui la fait entrer définitivement dans le cercle des stars de légende en lui confiant trois rôles majeurs dans « Dial M for Murder » (Le Crime était presque parfait), « Rear Window » (Fenêtre sur cour), « To catch a thief » (La Main au collet) où elle découvre d’ailleurs la Principauté de Monaco au cours de prises de vues. Elle incarne alors l’idéal féminin du Maître du suspens avec qui elle s’est liée d’une amitié inaltérable.
Malgré les inévitables romances imaginées par la presse avec des partenaires aussi prestigieux que Clark Gable, William Holden ou Cary Grant, sa vie privée reste très discrète. Son principal chevalier servant est néanmoins le célèbre couturier Oleg Cassini malgré la réticence de ses parents à l’égard d’un homme, certes brillant, mais non catholique et divorcé.

Lors du festival de Cannes en 1955, sa rencontre avec le Prince Rainier au cours d’une visite au Palais de Monaco, organisée par le magazine Paris Match, infléchit radicalement son destin. A la suite d’une visite que le Prince effectue auprès de la famille Kelly lors des fêtes de Noël, l’annonce de ses fiançailles déclenche un ouragan médiatique qui prendra une ampleur encore plus considérable pour ce que l’on appellera le « Mariage du Siècle », le 19 avril 1956.

Renonçant au cinéma, se consacrant à ses enfants Caroline, Albert et Stéphanie, partageant les tâches et les responsabilités de son mari le Prince Rainier, et se dévouant inlassablement au service de la Principauté et des monégasques, son Altesse Sérénissime la Princesse Grace réussit à la perfection dans son rôle auprès des familles royales européennes et sur la scène internationale où sa noblesse de caractère et son charisme apportent une aura de glamour qui fascine les médias et rejaillit sur le prestige de la Principauté. L’œuvre qu’elle accomplit à Monaco même, dans les domaines sociaux, environnementaux et culturels redonne un lustre inégalé à la Principauté, renouant les fils tissés à l’époque des Ballets de Monte-Carlo et des séjours de très nombreux artistes du monde entier.

Cependant les innombrables contraintes d’une existence astreignante, sous le feu constant de la curiosité publique l’incitent à préserver ses jardins secrets : anciennes amitiés d’Hollywood accueillies régulièrement à Monaco, tableaux de fleurs séchées qui donnent lieu à des expositions importantes, récitals de poésie en Angleterre et aux USA pour des causes humanitaires, films privés tournés par la Princesse Grace avec une « patte » hitchcockienne indéniable.
Sa mort prématurée, à la suite d’un accident de voiture, le 14 septembre 1982 suscite une émotion sans précédent et plonge la famille princière et les Monégasques dans une peine si profonde que son souvenir demeure intact vingt cinq ans plus tard dans toutes les mémoires.

Dans un siècle marqué par les tragédies collectives, la vie et la personnalité de Grace Kelly, Princesse de Monaco, apparaissent comme un modèle pour toutes celles et ceux qui l’admirent.

lundi 21 septembre 2009

France







Exemple d'affranchissement effectué par machine

France










Timbre au 'tarif lettre 20g'

dimanche 20 septembre 2009

Hong-Kong








Premier courrier reçu de Hong Kong. Merci beaucoup Eward.

vendredi 18 septembre 2009

Inde









Merci Jeevan Jyoti.

Inde





Timbres portant la date du 9-09-2009 reçus d'Inde. Merci Jeevan Jyoti.


jeudi 17 septembre 2009

Portugal








Série de timbres reçus du Portugal. Merci beaucoup André.

mercredi 16 septembre 2009

France










Timbre "rhinocéros". Le rhinocéros est un mammifère herbivore vivant en Asie et en Afrique. Il peut mesurer jusqu’à 5 m de long pour 1,80 m de hauteur, son poids pouvant atteindre les 2 tonnes. Chassé pour ses cornes utilisées pour faire des sculptures ou pour les effets thérapeutiques ou médicinaux qu'on leur prête, le rhinocéros fait partie des espèces les plus menacées.
Merci Eric

Canada






« La démarche créatrice d’un artiste, telle que je la perçois, consiste à transposer l’expérience humaine de celui-ci sous forme d’art. Ce faisant, il communique ses émotions et ses expériences aux autres. L’œuvre de création […] a ses propres règles, ses propres limites, sa propre existence. […] Ce nouvel ensemble organisé qu’est l’œuvre d’art peut ressembler ou non au sujet. L’important, c’est le degré de beauté, d’harmonie et de vitalité que l’artiste peut insuffler à sa toile. »
À une époque inscrite sous le signe des conventions et de la perfection, Jack Bush ouvre la porte à l’abstrait, aux choses qui semblent non finies et incomplètes, aux éléments simples et bruts. C’est peut-être cette maladresse qui donne à ses tableaux une touche résolument canadienne conjuguée à une beauté pratiquement désarmante. Jack Bush est considéré comme l’un des dessinateurs les plus originaux et l’un des coloristes les plus inventifs de l’histoire de l’art récente. Bien qu’il ait séduit le public étranger, cet artiste du cru est toujours resté solidement attaché à ses racines canadiennes.
John Hamilton « Jack » Bush naît à Toronto, le 20 mars 1909. Pendant plus de 40 ans, il connaît du succès comme créateur publicitaire, d’abord à Montréal, puis à Toronto, où il subit l’influence pendant toutes ces années du Groupe des sept, des peintres qui se distinguent par leur amour des paysages ; cet environnement stimulera son intérêt pour les beaux-arts.
En 1953, l’artiste se joint au Groupe des onze, créé pour promouvoir la peinture abstraite au Canada. Il est reconnu comme l’un des plus grands expressionnistes depuis la période fauve de Matisse. Dans le cadre de la série Art Canada, Postes Canada émettra deux timbres en hommage à Jack Bush.
La vignette au tarif du régime intérieur met en vedette Striped Column, un tableau réalisé par l’artiste, en 1964. Pour sa part, la figurine au tarif du régime international reproduit Chopsticks, une œuvre de 1977. Ces tableaux ont été choisis en raison du caractère intéressant de leurs interactions. « On note un contraste frappant entre l’arrière-plan jaune de Chopsticks et le fond bleu de Striped Column, de même qu’entre les formes des deux tableaux. La douceur du premier joue sur le dynamisme du dernier », explique la conceptrice Hélène L’Heureux. « Ils sont tous les deux pleins d’humour. »
La conceptrice, qui a utilisé divers supports artistiques dans les précédentes émissions de la série Art Canada, fait remarquer que chacun d’eux comporte ses défis et sa beauté propre. « Pour ce qui est des blocs-feuillets, explique-t-elle, je traite toujours l’arrière-plan de façon discrète. Dans le cas de Jack Bush, nous avons opté pour une photographie en noir et blanc, car elle ne fait pas concurrence aux couleurs vives présentes sur les timbres. »
Pour Alain Leduc, gestionnaire, Conception et production de timbres, à Postes Canada, les contrastes qu’on retrouve sur les figurines et le bloc-feuillet constituent l’hommage par excellence pour ce coloriste à l’esprit inventif. « Jack Bush avait tendance à ne jamais répéter une couleur dans un tableau. L’interaction entre ces timbres et la toile de fond utilisée pour chacun mettent l’accent sur cette caractéristique fascinante de son art tout en la prolongeant d’une certaine manière. »
Voici ce que Clement Greenberg, critique d’art américain et ami de toujours de Jack Bush, a dit au sujet de la vie et de l’héritage de l’artiste : « Il personnifie l’image de quelqu’un qui a toujours fidèlement gardé l’œil sur ses objectifs esthétiques […] il est resté vivant, engagé, optimiste et travailleur infatigable toute sa vie. Il estimait que l’avenir de l’art au Canada avait été, était et serait entre de bonnes mains. » Émis à l’occasion du centenaire de la naissance de Jack Bush, ce timbre souligne la place qu’il tient dans l’histoire passée, présente et future de la scène artistique canadienne, milieu qu’il a toujours tenu en haute estime. Il s’agit d’un hommage véritablement impressionnant envers un artiste au talent remarquable.
« Mon père a toujours été fier de ses racines canadiennes », fait remarquer le fils de Jack Bush, Terry Bush. « Nul doute qu’il aurait été ravi de cet honneur. »

lundi 14 septembre 2009

Canada

« En vérité, l’aventure exerçait sur moi un attrait magnétique. L’Arctique faisait désormais partie de ma vie. C’était comme un poison qui coulait dans mes veines. »
Capitaine Bartlett (extrait de son journal)

Durant l’âge d’or de l’exploration de l’Arctique, il n’y avait qu’un « capitaine Bob ». Considéré comme le plus grand navigateur des glaces du XXe siècle, le marin a été tour à tour chasseur de phoques, explorateur de l’Arctique, capitaine de navire sillonnant les mers glacées et scientifique. Ayant passé plus de 50 ans en mer, il était avide d’aventures et de découvertes dans certains des coins les plus sauvages et les plus reculés du monde.
Robert Abram Bartlett voit le jour le 15 août 1875 à Brigus, à Terre-Neuve (aujourd’hui Terre-Neuve-et-Labrador), au sein d’une famille de chasseurs de phoques renommés et de maîtres navigateurs. Sa mère espère le voir embrasser la carrière ecclésiastique, mais l’appel du large est plus fort.
De 1898 à 1909, le capitaine Bob accompagne Robert E. Peary, célèbre explorateur américain, dans trois de ses tentatives pour atteindre le pôle Nord. Durant le troisième périple, il mène l’expédition jusqu’à 87°48' de latitude Nord, conduisant son navire plus au nord que personne avant lui. Il est par la suite capitaine du Karluk dans le cadre de l’Expédition arctique canadienne. Lorsque les glaces de l’Arctique broient le navire, Bartlett et un compagnon inuit se lancent dans un périple de 1 126 kilomètres vers la terre ferme et le long de la côte de la Sibérie pour secourir les membres de l’équipage restés en arrière. Durant les deux dernières décennies de sa carrière de navigateur, le capitaine Bob conduit le Effie M. Morrissey lors d’expéditions scientifiques au Groenland, en Islande et en Extrême-Arctique. En 1969, la Commission des lieux et monuments historiques du Canada le déclare personnage d’importance historique nationale.
Le mariage de bleus glacés et de blancs neigeux constitue un arrière-plan parfait pour le timbre commémoratif émis en l’honneur du 100e anniversaire de l’expédition légendaire du capitaine Bob vers le pôle Nord. On y voit Bartlett tenant un sextant, instrument utilisé pour mesurer la latitude et la longitude en mer. « Nous avons choisi cette photo, car elle illustre les compétences spécialisées en navigation qui ont fait sa renommée », explique la conceptrice Karen Smith. Dans le coin supérieur gauche de la vignette, on voit un dessin de la Terre, du pôle Nord en descendant, qui empiète sur le cadre du timbre. En arrière-plan figure une image du Roosevelt (le navire dont Bartlett était capitaine durant les expéditions polaires de Peary), surimposée sur une photographie récente de l’Arctique canadien. « Nous avons opté pour une photo moderne, car les couleurs vives rendent bien le froid et la rudesse qui habitent cette région », ajoute la conceptrice. Entre le capitaine scrutant l’horizon et son navire, on retrouve des Inuits qui, grâce à leur connaissance de la région, ont permis aux explorateurs de survivre dans ce rigoureux climat arctique.
Cet hommage de la poste ravit celles et ceux qui s’intéressent aux réalisations de Robert A. Bartlett. « Le capitaine Bartlett a fait connaître l’Arctique au reste du monde », commente l’honorable Edward Roberts, président du comité directeur du projet Celebrating Bartlett 2009 et ancien lieutenant-gouverneur de Terre-Neuve-et-Labrador. « Ses réalisations et ses conférences populaires ont changé la perspective du monde entier à l’égard des terres arctiques canadiennes. Nous sommes ravis que Postes Canada ait décidé de l’honorer au moyen d’un timbre. »
Pour en apprendre davantage sur l’héritage du capitaine Bartlett et les célébrations prévues en son honneur, consultez le site http://www.bartlett2009.com/(en anglais seulement).

dimanche 13 septembre 2009

France

Timbre de France

samedi 12 septembre 2009

Pérou








Timbres reçus du Pérou. Merci cher Wil.

Canada

Merci Roger.